Test de Daydream Forgotten Sorrow (Steam)

Une aventure atmosphérique

Vous vous retrouvez aux commandes du jeune Griffin, qui se réveille dans un endroit inconnu. Son seul compagnon est un ourson en peluche vivant répondant au nom de Birly. Avant de pouvoir réaliser quoi que ce soit, le jeune garçon doit fuir face à une étrange main géante et maléfique qui le pourchasse.

Une fois hors de danger, Griffin et Birly auront un objectif précis, se rendre vers le phare qui les appelle au loin.

Mais leur route ne sera pas de tout repos. De nombreux dangers et obstacles se dresseront sur leurs chemins, ainsi que des rencontrent, bonnes et mauvaises.

Votre voyage vous transportera sur différentes ambiances, tantôt colorée et poétique, tantôt obscure et oppressante. Ces ambiances sont d’autant plus accentuées par le manque de parole des personnages et un fond sonore soigné. Impossible de ne pas penser au jeu Little Nightmares sur ces derniers points.

De nombreux dangers et obstacles se dresseront sur leurs chemins

Enigmes et puzzles

L’aventure de Griffin vous fera parcourir différents tableaux aux différentes atmosphères. Bien que vous ne puissiez pas déplacer la caméra, le jeune garçon peut se déplacer sur l’arrière et avant plan, en plus de la droite gauche. Ce manque de caméra est sûrement le gros point noir du jeu. Durant les phases de plateformes ou de sauts, il arrivera souvent que la frustration soit de mise à cause de cette mauvaise vision.

Fort heureusement, Birly est là pour vous venir en aide. Ce petit compagnon tout doux pourra être porté et être lancé sur des plateformes inaccessibles pour vous dérouler une échelle afin de continuer votre progression. Vous pouvez lui demander de se rendre à un endroit précis ou utiliser un levier via une commande. Il ne sera d’ailleurs pas le seul vous apporter son aide. Vous le découvrirez dans la dernière moitié du jeu.

Daydream est rempli de petits casse-têtes en tout genre : tourner des levier pour reconstituer une statue, trouver la bonne combinaison d’animaux pour ouvrir une porte ou user de Birly pour vous ouvrir la voie.

Bien que l’aventure soit linéaire, il y a tout de même quelques petits secrets bien cachés qui pour les plus perfectionnistes, donneront l’envie de refaire les chapitres à la recherche des manquants.

Daydream est rempli de petits casse-têtes en tout genre

Entre rêve et cauchemar

Le jeu a des airs enfantins avec un petit garçon comme héro et son ours en peluche. Bien que certains environnements soient propices à la poésie, d’autres sont bien plus oppressants.

On peut le constater dès le début du jeu où fuir est votre seule option. Vous aurez droit à ce genre de courses poursuites plusieurs fois dans le jeu. Bons nombres de cinématiques sont présentes, très jolies qui plus est, offrant un contenu scénaristique plus étoffé bien qu’il est un grand manque d’explication. En effet certaines choses restent assez floues, laissant libre court à votre interprétation.

Bien que certains environnements soient propices à la poésie, d’autres sont bien plus oppressants.

Quelques concept arts de Street Fighter 6

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Conclusion